The Bucket List

J’abuse.

Je prends de longues pauses comme ça sans prévenir.  Ce n’est pas comme si je n’écrivais pas d’articles, je ne les publie pas, nuance. Ma procrastination a atteint son apogée depuis la pandémie et il m’est plus difficile de sortir de mon imposter syndrome qu’avant. But you know what ? We move comme dirait les anglais.

 

Ces deux dernières années ont été très étranges mais le paranoma (autre nom de miss rona) a vraiment bouleversé mon rythme de croisière. Donc après une année bien chargée en émotion, me voilà en route pour des vacances bien méritées. Direction le pays au drapeau rouge, noir, blanc et vert, le Kenya. Après avoir vu des millions de reportages sur le pays d’où l’on peut apercevoir le Kilimandjaro, il fallait que je voie ça de mes propres yeux. And Oh Boy ! J’en ai pris plein la vue.

 

Alors l’Afrique, oui j’ai déjà fait, Congo plus précisément Kinshasa, mais à part ça rien d’autre.

L’Afrique. Ce continent vaste de 54 pays, de millions de tribus, ethnies, dialectes, coutumes m’a toujours attiré mais sans plus. Faut dire que l’Afrique qui est montré et souvent au-dessus ou très en dessous de nos attentes, il n’y’a jamais de juste milieu.

Du coup quand l’idée s’est présenté de voyager avec un groupe d’inconnus dans le pays des Maasai, j ’ai sauté sur l’occasion (vous avez saisi ?! sauté ? Maasai ?! ok never mind.)

 

Afro Black 

J’ai voyagé avec Noir Nomad, une agence qui s’occupe de l’organisation de circuits/séjours sur le continent. J’ai l’habitude de voyager avec des amies mais c’était une première de voyager avec des inconnus, sauf une (Hey Rita) L’ambiance était top et tout s’est très bien passé, le choix des hôtels et des activités étaient au point et l’hospitalité des kenyans et tanzaniens était à la hauteur. Tout y était vraiment, même les petits quacks mais ça, ça fait aussi partis des voyages.

La chose que j’ai moins aimé dans tout ça c’était la visite au village Masai, qui pour moi n’était qu’une supercherie. Une activité qui attire les touristes du monde entier mais qui du coup, a perdu de son authenticité.

 

Le Welcoming était parfait, des hommes noirs portant leur attirails rose et rouge sang c’était magnifique. Moi ravie, je sors mes 32 dents mais le déclic n’y est pas. Je ne sais pas, je pensais que j’allais verser une larme à cause de l’émotion ou quelque chose. Mais non, je n’ai rien ressenti ou presque rien. Dommage car les photos sont stunning…

On nous a expliqué plus tard que les pratiques de Maasai avaient changé avec le temps, et comme le capitalisme ne connait pas de frontières, même à 6 heures de route de Nairobi sur la terre des lions et des girafes, les Maasai eux aussi devaient se mettre au diapason. Tout est une occasion pour vendre/acheter. On nous a expliquer qu’ils essayaient de survivre tant bien que mal, et tous les moyens étaient bon pour faire du profit quitte à nous faire un remake de terre inconnus…

 

Je pourrais passer des heures à parler de la bouffe, des sublimes paysages, du coût de la vie sur place et autres tips pour black traveller, mais vu le nombre croissant de blog et page d’instagram pour « afro voyageur » vous avez l’embarra du choix.

 

Sans transition, en parlant d’ afro word, une question me turlupine. Pourquoi dès qu’il s’agit d’un business destiné a la communauté noire, les francophones (souvent nous) se sentent dans l’obligation de rajouter le mot AFRO ?

AFRO VEGAN

AFRO VOYAGEUR

AFRO TRADER

AFRO FOOD ??

En quoi l’afro-voyageur diffère de la définition du voyageur ? Arrêtez cette tendance s’il vous plait et soyez plus créatifs. Si vous voulez qu’on vous prenne au sérieux vous créateurs d’afro contenus en tout genre, commencez par prendre au sérieux votre travail et arrêtez de limiter vos activités à une définition subjective de « l’afro-mouvement ». Nous, consommateurs, n’avons pas besoin qu’on nous rappelle que nous sommes des africains ou des descendant d’africains. We. Know. That.  Si je vais à un restaurant, rajouter afro ne va pas me faire changer d’avis si le service est naze, et quand je voyage, je ne vois pas en quoi être une « afro voyageuse » change quelque chose, ça ne me dispense pas de me faire dépouiller comme un blanc, car aux yeux des locaux, je suis une touriste, point.

 

Bref. Revenons a nos girafes.

 

La deuxième partie du voyage c’est fait en Tanzanie et plus précisément au Zanzibar.

Une eau bleue que je ne peux pas décrire. Des plages au sable fins, des couchés de soleil comme des films bref, une ile paradisiaque ou il y fait bon vivre.

Zanzibar c’est aussi une destination qui faisait partie de ma bucket list pendant des années. J’ai toujours rêvé de faire cette destination mais c’était au-dessus de mes moyens et pour être complètement honnête, je pensais que c’était le genre de destination où tu pars en mode #Baecation. Aller en Baecation sans le Bae, ce n’est pas sexy hein.  Donc pendant longtemps j’ai retardé les destinations paradisiaques comme Zanzibar mais aussi des restaurants, des sorties ou autres activités qui selon moi se ne faisaient qu’a deux. Belle erreur.

Avec du recul je me rends compte à quel point j’ai perdu mon temps. Mais j’ai compris deux choses : d’une, il ne faut pas s’arrêter de vivre en attendant un bae et de deux, il n’y pas de véritable bon moment, il faut saisir l’occasion quand elle se présente. Par exemple, Il ne faut pas attendre le parfait post pour publier sur son propre blog ahah.

 

On fait tellement une fixette pour les meilleures conditions soient réunis qu’on finit par rater l’essentiel. Il faut saisir l’occasion qui se présente a nous, même si on ne se sent pas prêts. Le jour où j’apprendrais à suivre mes propres conseils, je vous assure que vous êtes morts dans le game, je vais tout peter.

 

C’est ça aussi voyager. C’est de voir la vie sous une nouvelle perspective, un nouveau prisme. C’est d’être impressionné par la traversée d’un troupeau d’éléphants et la beauté de la nature et d’être déçu par la nature humaine ou bien d’être surpris de voir le changement que deux semaines peuvent opérer sur notre vie.

 

Thee Stallion, Mamacita et autres victimes

Je ne sais pas pour vous mais le confinement à dévoiler les vices de beaucoup d’entre nous. Entre la pandemie et les ‘entanglement’ de cet été, on se dirige vers un automne et hiver très mouvementé, je me permets donc d’écrire ce petit post sur ce que je viens d’observer…

L’affaire Megan Thee Stallion est un cas d’école presque trop faux pour être vrai. Deux célébrités au top de leur carrière, une soirée sans doute bien arrosée, une arme à feu et BOOM voici que Megan se fait tirer dessus. Mais qui à tirer sur le Stallion ?? Après des semaines de spéculation et sans réelle surprise voici qu’on apprend que c’est Tory Lanez, grand vainqueur de la période de confinement avec sa Quarantine Radio qui aurait tiré sur Meg.

Bon, une autre histoire de love qui tourne mal, rien de nouveau sous le soleil. Entre un gars qui a le complexe de Napoléon, (il fait moins d’1m65) face à une Meg (1m80) bien au-dessus de son pedigree. C’est quoi ? il n’a pas supporté le rejet du Stallion ?? Quand c’est pas pour toi mon frère, faut laisser….

Là où ça devient intéressant, c’est l’opposition d’opinion que cet évènement à engendrer. Entre (certains) Hommes Noirs et (certaines) Femmes noires, le torchon brule et chacun prend position. Et le moment ne pouvait pas être plus opportun pour créer une discorde : les manifestations pour le Black Lives Matter mouvement en fond sonore, nous avons le parfait cocktail molotov pour un désastre.

Le manque de réponse des personnalités masculines reflète bien le malaise général. Un peu comme R. Kelly, ce pédophile que vous aimez tant, je suis choquée de constater que Tory ne reçoit pas le blacklash qu’il mérite. Malgré les preuves qui l’accablent, certains d’entre vous le défendent et continuent d’écouter ses sons, voire même de lui trouver des raisons….Pour info, les ventes d’album de Robert ont augmenté de 16% sur Spotify juste après la diffusion du documentaire “Surviving R.Kelly”…son inspiration venait de ses relations sexuelles avec des mineurs d’à peine 13 ans donc, êtes vous tous des pervers ou est-ce que vous avez encore du mal à faire descendre ces célébrités de leur piédestal ?

Compassion is not Black.

D’autres demandent des preuves, ou même des explications de la part de Tory, mais pourquoi ? A-t-on besoin d’une justification pour incriminer quelqu’un quand on a les preuves? Pourquoi tout d’un coup certains d’entre vous veulent jouer aux inspecteurs Colombo, comme si une fois l’explication donnée, Tory aurait une sorte de légitimité justifiée ? Vous oubliez qui sont les vitimes de ces histoires…

Pourquoi la femme noire ne peut pas être une victime elle aussi ? Pour ceux qui ont suivis l’actualité, Oluwatoyin “Toyin” Salau, cette jeune militante américaine, très vocale sur les questions raciales, s’est faite assassiné par un homme noir quelques jours après avoir brisé le silence sur son agression sexuelle. Elle avait reçu pas mal d’insultes pour avoir soulevé le problème des agressions sexuelles dans la communauté noire. Silence radio de la part des « hoteps » et autre soi-disant leaders des mouvements communautaires. Lorsqu’on parle de la femme noire, les langues sont bien plus pendues quand il s’agit de sa sexualité assumée que lorsqu’il s’agit de sa sécurité…la polémique WAP de Cardi B et Megan en est la preuve ultime.

Le manque de soutien de la gent masculine noire ne date pas d’hier. Le Nord se souvient du tristement célèbre #ToutEstNoirSaufNosMeufs lancé par un homme noir…Le misogiy(noire) est encore trop palpable dans certains débats : impossible pour la femme noire de parler de sa souffrance sans que sa parole soit remise en doute et que les insultes fusent. Alors comment sommes-nous en arrivés la ? Aucunes idées, enfin si je sais mais c’est trop long à expliquer.  Mais de grâce, remettons nous en question et cessons. C’est ridicule, ça tire de partout, et surtout ça laisse l’espace a certains de prendre des ailes et de tirer à balles réelles…

Plus récemment en Afrique c’est l’affaire Sidiki Diabaté qui m’a choquée. Un peu comme Tory, les preuves l’accablent,  mais contrairement a notre nain americain, celui ci a aussi le soutien de certaines femmes comme Oumou Sangaré (!!!) ou Yvidero (personnalité ivoirienne) qui presentent même des excuses en son nom (!!!!) et donc rajoute de l’huile sur le feu. Et la victime dans tous ça ? Le type n’a même pas présenté ses excuses que voilà des tantines qui organisent des manifestations sur Paris pour demander sa libération..a croire qu’elles n’ont pas de filles/nièces ou soeurs… Des femmes battues elles même par leurs maris qui soutiennent un artiste accusé de viol, de séquestration et de violences physiques sur sa femme, le syndrome de Stockholm dans toute sa gloire…

Une Derniere reflection:  le #BlackLivesMatter que vous scandez partout, il inclut qui ? A voir la réponse de certains d’entre vous c’est « Black Lives Matter, Yes, BUT… » par conséquent exclus les gays, les transgenres, et même certaines femmes noires…Le respect que l’on exige des autres, on va devoir apprendre à l’exiger à soit même…

 

L’Effet Femmes d’Influence

J’avais un autre article en tête, totalement différent. Mais faits divers obligent, je ne pouvais pas passer à côté de l’occasion de parler d’un phénomène très étrange que je vois proliférer partout sur les réseaux.

Un spécimen hybride de femme a fait son apparition il y’a quelques années sur la toile. Concept présent depuis une décennie, elle a récemment mutée tel un Pokémon pour devenir cette Patronne hors catégorie, Reine indétrônable de son palais, Déesse des clapbacks et des subliminaux sur Twitter. Des femmes qui se suffisent à elle-même, à priori, capable de tout faire sans l’aide de personne…Bref vous l’avez reconnu, c’est la Boss Lady 2.0

La Boss Lady 2.0 est une Entrepreneuse slash CEO slash ‘Founder Of’ slash Influenceuse slash Creator Content slash tout en portant des talons aiguilles.

Elle réussit dans tous les domaines sans exception car c’est une femme de Feu/d’Impact/de Splendeur, bref les adjectifs ne suffisent plus pour la qualifier ; elle ne se limite pas à être un modèle d’excellence en business, elle excelle aussi en relation #CoupleGoals et tout ça avant même d’atteindre le chiffre fatidique de la femme de Valeur : 30 ans. Elle suit les formations les plus pointilleuses avec des coach experts en tous genre (coach expert qui soit dit en passant est aussi un nouveau spécimen ajouté dans ce Jurassic Park de l’entreprenariat). Elle passe ses journées a copy/paste le livre de Michelle Obama tout en planifiant ses Dimanches Brunch avec ses followers. Son objectif c’est le sommet, vous l’auriez bien compris; elle a la niaque et tout le monde doit le voir !

Cette formule Tout Terrain de la femme est en partie décrit par un fameux site qui se vante d’être le 1er site de réflexion et développement personnel français, récemment accusé de plagier (preuve à l’appui) un autre célèbre site de l’autre côté de l’Atlantique. Ce fameux site bombarde de message dits de motivation et portrait l’image d’une femme entrepreneure invincible. Ses slogans et messages sont devenus en quelques années le blueprint des « Independent Women » françaises. De là découle une prolifération de self made Coachs, Bloggers, CEO et autres influenceuses en tout genre et qui se sentent, pour certaines d’entre elles, pousser des ailes.

Independent woman? Bi*ch Really ?!

À la question si c’est possible d’être une Boss Lady 2.0 Je réponds non. Cette description de le Femme Accomplie et Self Made est une illusion. Et s’en suit le fameux « Mais on a tous les mêmes 24h que Beyonce, donc si elle peut le faire, nous aussi »

Ce à quoi je rétorque « Avez-vous des nounous qui vous suivent à chacun de vos déplacements, un Chef cuisto étoilé qui vous prépare vos dîners favoris dans votre jet prive ou même un maquilleur/coiffeur attitré ? » Non. Donc non, nous n’avons pas les même 24 heures et pour être honnête ça ne ressemble pas à de l’indépendance lorsque l’on a un harem de 15 personnes qui décide de nos tenues quotidiennes…

Ce que personne ne vous dit réellement, c’est que travailler en freelance ou êTrE sOn pRoprE PaTrOn n’a rien de glamour. C’est du travail, du travail et encore du travail; et ce n’est pas fait pour tout le monde.

Ne regardez pas le clan Kardashian/Jenner comme étant des baromètres de succès. Ces femmes de pouvoir, comme vous adorez les nommer, ont des équipes de spécialistes derrière elles qui s’occupent de tous pendant que K K K (oh oh) s’occupent de vous distraire avec leur dernier selfie…

Don’t Do it For the Gram.

Travailler pour subvenir à ses futurs besoins, c’est le but de toutes Boss Lady. Mais à en croire certaines de ces pages  insta et sites internet, tu sens la défaite à plein nez quand tu es une simple employée.  C’est aberrant d’être discréditer pour travailler dans un magasin de vente alimentaire comme l’a été Geoffrey Owens, acteur de la fameuse série The Cosby Show, qui suite à l’arrêt des rediffusions de la série et donc l’arrêt des payments des royalties, s’est vu dans l’obligation de trouver du travail pour subvenir aux besoins de sa famille. Apparemment un 9 heure-17 heure c’est out of style et de recevoir une paye a chaque fin de mois et d’être capable de payer ses factures pour le bien de sa famille c’est carrément insensé

Non la Femme d’Impact, elle, travaille en freelance, a déjà 3 sources de revenus, est à la tête d’un commerce de vente de perruque, paye ses factures avant même de recevoir la notification, participe aux conférences « Comment être la meilleure version de Soi-même en 3 étapes*» ; les vacances à St Tropez ? ça c’était avant d’être une femme de feu, maintenant c’est les Bahamas avec son #GangGang, car non, elle n’a pas d’amies mais que des Numéros 10 dans sa team… #ComportementOnVousDit

*Toute ressemblance à une conférence n’est que fictive pour les besoins de cet article…quoique.

Le problème avec ce type de site c’est qu’il vous portrait une vision édulcorée de ce qu’est l’entrepreunariat en diluant la charge de travail, de recherche, de nuits blanches et de sacrifices fournis par des vrais entrepreuneurs.

Cette description de la Boss Lady super star est, à mon humble opinion, incorrecte, mensongère et surtout pomper (mots pour mots) sur des exemples américains qui n’ont pas pour modèle la française lambda. Je ne vais pas rentrer dans les détails du système capitaliste et de son efficacité chez les américains mais en clair, ici c’est pas les States donc les règles diffèrent.

Demandez aux vrais entrepreuneurs, aux CEO et autres créateurs s’ils ont le temps de poster H24 leurs faits et gestes, combien de fois ils ont échoué et/ou perdu des sommes d’argent ou même combien de fois ils ont pensé à jeter l’éponge. Arrêtons de glamouriser l’entrepreunariat comme étant une solution pour un succès immédiat pour tous ceux qui s’y aventurent.

Certes, dans un monde qui a été créé par des Hommes, blancs de surcroît, il n’est pas si simple pour nous les femmes de se faire une place au soleil. Nous avons besoin de motivation, de formations, de groupes de soutien et de modèles sur qui l’on puisse compter pour faire la différence mais In Real Life. On a besoin de vraies solutions, pas que des discours en ligne ou des présentations sur PowerPoint sans réelles actions.

Cependant, force est de constater que certaines d’entre vous veulent juste rajouter le titre CEO slash Créateur slash Fondatrice de [compléter la phrase a votre guise] à leur entête de page d’Instagram…

Vous n’avez aucune passion à faire ce que vous faites, mais c’est mieux que rien j’imagine, cela vous donne l’air d’être importantes ou un sentiment de supériorité sur les salariés et puis ça rend bien sur les photos d’être entouré d’autres Entrepreuneur du Net. Un post ici et là, quelques Retweet en TT et ça y est vous êtes conférencier ? ou Coach peut être? Un post bad et vous voilà blogger ou ambassadrice pour FashionNova…like

Une seule vente de mèche d’AliExpress ne fait pas de vous une CEO! Certaines (et même Certains) adorent tellement les titres et la pseudo notoriété attachée avec, qu’ils sont même surpris par la charge de travail demandée #Shocking. C’est un Ego Trip, c’est pour ça que vous échouez. 

Loin de moi l’idée de vous dissuader de poursuivre vos rêves de conquête du monde, mais un petit rappel s’impose :

Une mère au foyer est une Boss Lady,

Une femme qui reprend ses études passé 30 ans est une Boss Lady,

Une employée de Carrefour est une Boss Lady.

La définition de Boss Lady ou Femme de [compléter la phrase a votre guise], n’appartient qu’à vous de la définir. Il n’y a pas de formule magique ni de définition universelle au succès. Votre succès, c’est vous qui le définissez, ne laissez pas une application, ou les CEO du Net vous dire le contraire.